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UP
- Colosseum, simbol al romei antice
- The Colosseum, the simbol of Rome
- Mérida emerita eugusta: una citta da scoprire
- La sardaigne romaine

1. La latinité et la sculpture
2. La latinité et l'architecture
3. La latinité et la musique
4. La latinité et la littérature/langue
5. La latinité et notre quotidien
6. La latinité et les autres cultures
7. La latinité et l'histoire
8. Qu`est-ce que signifie la latinité pour moi?
9. La latinité et le thêatre

Portugal
2.
COLOSSEUM SIMBOL AL ROMEI ANTICE

Numeroasele monumente, ramase ca mostenire generatiilor actuale si viitoare, arata marea varietate de forme a programului de constructii romane. Proportiile monumentale, noua tehnica constructiva a arcurilor si boltilor, accentul pus pe estetica si perfectiune, fac din arhitectura romana, de la Tabularium la Palatul lui Diocletian din Split o „ enciclopedie a arhitecturii”.

 

Cea mai cunoscuta constructie a Romei antice o reprezinta Colosseum-ul, fiind impresionant prin dimensiunea uriasa si expresia grandorii, simbolizand continuitatea istorica a vietii Romei in traversarea secolelor. Colosseum-ul a fost inaugurat in anul 80 (in vremea lui Titus Flavius ) si este numit si amfiteatrul Flavian dupa primul imparat al flavienilor (Vespasian), care a intreprins construirea edificiului. Amfiteatrul avea arena de 76 m x 46 m. Subsolul arenei era ocupat de magazine, de custile animalelor salbatice si cabinele gladiatorilor. In arena aveau loc luptele crestinilor cu animalele, duelurile dintre gladiatori, cursele si simularea luptelor navale. Cu o capacitate de 50 000 de spectatori, cladirea putea fi evacuata in 10 minute. Aceasta opera de arhitectura, cu cele 80 de arcade si cele trei ordine clasice folosite ( doric , ionic , corintic ), are zidurile acoperite cu marmura. Inca din secolul al VII-lea, se spunea ca: “atata vreme cat Colosseum- ul va trai, Roma va trai de asemenea”.

In prezent, Closseum-ul atrage turisti din toata lumea, atat prin maretia impunatoare, cat si prin trecutul tragic pe care l-au presupus jocurile disputate in incinta lui.

Nastase Roxana-Elena
Liceul “I.H.Radulescu”, Targoviste
Profesor coordonator: Steliana Petre

 

THE COLOSSEUM,
THE SYMBOL OF ROME

Countless monuments, which have remained as an inheritance until nowadays and for future generations, shows us the great variety of the Roman constructions programme. The massive proportions of the monuments, their perfection and esthetic importance, made Roman architecture, starting with Tabularium to Diocletian Palace from Split , an “architectural encyclopedia”.

The Colosseum is the most ever known construction from antique Rome because of its dimensions and its graceful shape, symbolizing the historical continuity of Rome through centuries. The Colosseum was inaugurated in 80 (in the time of Titus Flavius ), and it is called the Flavian amphitheatre after the first emperor ( Vespasian) , who ordered its construction. The arena of the amphitheatre had 76 m X 47 m. The arena underground was occupied by stores, the wild animal caves, and the gladiators' rooms. In the arena there took place the fights between the wild animals and the Christians, between the gladiators, races and the simulation of naval battles. With a capacity of 50 000 spectators, the building could be evacuated in 10 minutes. This piece of architecture, with a number of 80 arches and the three classic orders used ( Doric, Ionic, Corinthic), has its walls covered with marble. Since VII-th century, it was said that: “ as long as the Colosseum lives, Rome will live too”.

Nowadays, the Colosseum attracts tourists from all over the world, due to its impressive shapes, and the tragic past of the games which took part in its arena.

Nastase Roxana-Elena
Liceul “I. H. Radulescu”, Targoviste
Profesor coordonator: Monica Besleaga

 

 

MÉRIDA
EMERITA EUGUSTA : UNA CITTÁ DA SCOPRIRE

Par hasard, pendant un voyage scolaire en Espagne, précisément a Mérida en Extremadura, nous nous apercevions de ne pas être partis vraiment. Pourquoi ? Parce que nous étions arrivés dans une ville, colonie romaine, où prévalaient les restes de l'antique Rome!

<< Nooon ! c'est un cauchemar! >> nous nous sommes dit. Nous voulions nous éloigner de nos origines pour découvrir de nouveaux horizons mais ce n'était pas possible. Mérida est une ville très belle, située sur un gisement archéologique, cette ville a été fondée par l'empereur Octavio Augusto ; en effet elle fut appelée Emerita Augusta. Quand une personne comme nous passe dans la rue, se plonge dans la histoire de l'empire romain et revit les étapes culturelles de la ville. Les restes les plus importants sont :

Les murs.
Ils ont été réalisés quand la ville a été fondée. Dans ses murs on ouvrit quatre portes principales et d'autres très nombreuses : les portiques. Ces murs étaient très important parce qu'ils défendaient la ville des invasions barbares.

Les ponts.
Sont construits un sur le Guadiana et un sur l'Albarregas. Le premier est plus grand que l'autre et il a une valeur stratégique.

Les bassins de barrage et aqueducs.
Pour fournir l'eau à la ville on a construit deux bassins : Proserpina et Cornalvo, dans le parc naturel portant le même nom. L'eau accumulée était apportée à la ville avec des canalisations souterraines ou avec des ponts constitués par des arcs : c'est le cas de l'aqueduc des Miracles. A partir de Cornalvo vint la canalisation Aqua Augusta.

Les routes.
Le tracé des routes de Emerita Augusta fui réalisé suivant le modèle romain : un axe principal composé de deux rues, le Decumanus Maximus et le Kardo Maximus. Les autres rues secondaires ont été tracées parallèles à celles-ci.

Les Habitations.
Les habitations des familles nobles et pauvres, avec leurs différences, nous font comprendre les changements dans le temps, comme les jardins, les murs, les sols et les chambres. Quelques exemples de “domus” sont la Casa del Mitreo, Casa del Anfiteatro, Moreria, etc.

Le Forum Municipal.
Le Forum a été la place principale de la ville ; situé au carrefour des deux rues principales, il y a tous les bâtiments les plus importants de la ville. On peut visiter le Portico, une construction monumentale décorée aves des éléments sculpturaux.

Le théâtre, l'amphithéâtre et le cirque.
À Mérida on rencontre les trois bâtiments paradigmatiques de la culture romaine : le théâtre, l'amphithéâtre et le cirque. On parle de trois bâtiments monumentaux : l'amphithéâtre fut destiné à la célébration de jeux gladiateurs avec des hommes et des animaux. Dans le cirque les spectacles furent des courses de chars.

Mérida n'est pas seulement belle pour ses restes archéologiques mais elle est belle aussi pour ses traditions, sa chaleur et son accueil…en effet nous sommes contents de cette expérience, parce que c' est une ville merveilleuse même si, et peut-être justement parce que nous avons vu « les mêmes choses » que nous avons en Italie!!!

Theatre Theater
Cirque Temple de Diana

Texte et photos : Arlotta Carmen e Garofalo Chiara 16 anni
“Liceo Scientifico Enrico Boggio Lera”
Catania Italia

 

LA SARDAIGNE ROMAINE

J'ai 12 ans et je fréquente le collège à Pula au Sud de la Sardaigne. j'ai visité ,il ya 15 jours, l'Amphythéatre romain de la ville de Cagliari dont je vais vous parler.

Nel III° secolo a.C. i Cartaginesi controllavano militarmente la Sardegna e la Corsica.

Roma, si impadronì dell'isola, approfittando di una ribellione dei mercenari inviati da Cartagine che la controllavano militarmente.

Poichè i Cartaginesi non disponevano di denaro per pagare i mercenari, questi offrirono la Sardegna ai Romani.

L'isola fu conquistata nel 238 a.C. , essa costituì insieme alla Corsica un'unica provincia Romana.

Nel I ° secolo d.C. le città del sud-ovest ebbero una grande espansione edilizia, come la costruzione di terme, teatri, acquedotti, templi e ville signorili.

I romani ampliarono e migliorarono la rete stradale cartaginesi e favorirono il sorgere di villaggi rurali.

Tanti secoli di dominazione assicurano la romanizzazione dell'isola, almeno per le zone costiere e quelle pianeggianti, con l'esclusione della zona centrale, che i romani chiamavano “terra dei Barbari” ( Barbaria ), da cui è derivato poi il nome “ Barbagia ”, in Sardegna venivano deportati diversi ebrei e cristiani al tempo delle persecuzioni, favorendo la diffusione della nuova religione dell'isola.

Tra le opere costruite dai Romani ed a tutt'oggi quasi integre, vi è l'Anfiteatro Romano di Cagliari, il più importante tra gli edifici pubblici della Sardegna Romana.

I costruttori, forse a più riprese, tra il I° e II° secolo d.C. , intagliarono nel banco roccioso gran parte delle gradinate, l'arena, vari corridoi ed altri ambienti di servizio a queste collegati, mentre la monumentale facciata rivolta a sud, che superava i 20 metri di altezza, ed il settore diametralmente opposto a cavallo di una stretta gola rocciosa, furono edificati con i blocchi calcarei estratti da varie cave aperte nelle vicinanze.

Dall'anfiteatro, fino alla metà dell' ‘800 si continuarono ad asportare materiali da costruzione , finché il comune non acquisì l'intera area, affidandone gli scavi al canonico Giovanni SPANO.

Questi, tra gli altri reperti, riportò alla luce una grande quantità di sottili lastrine marmoree, a riprova di come i gradini fossero originariamente rivestiti di materiale pregiato.

Anche nel monumento cagliaritano, come in altri anfiteatri, le gradinate risultano divise in 3 ordini ( ima, media e summa cavea), riservate alle differenti classi sociali di cui si componeva l'antica società romana( senatores, equites, plebei, servi).

 

Lungo il corridoio attorno all'arena (cryptae) si affacciavano le gabbie per gli animali feroci (claustra), mentre altri ambienti scavati sotto l'arena ( fossae) , servivano a contenere i macchinari scenici.

L'anfiteatro di Cagliari aveva una capienza stimata in circa 10.000 spettatori, i quali potevano assistere a lotte tra uomini e belve feroci, dette veneationes, all'esecuzione di sentenze capitali ed a combattimenti all'ultimo sangue tra Gladiatori, detti munera.

Dal fondo dell'arena, un corridoio tuttora percorribile, lungo 95 metri attraversa il banco roccioso fino ad una grande cisterna sotterranea, riadattata a carcere già in periodo antico.

Su una sua parete è stato scoperto un graffito paleocristiano, raffigurante la Navicula Petri, la nave della chiesa, il cui autore va probabilmente individuato in un martire sconosciuto , detenuto in attesa di essere ucciso nei giochi dell'arena.

 

LUCA SARDARA
Classe 1^A
ISTITUTO COMPRENSIVO “BENEDETTO CROCE” PULA – SARDEGNA- ITALIA

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